Certaines activités physiques se pratiquent dans des créneaux horaires inhabituels, parfois tôt le matin, pendant la pause déjeuner du midi, ou tard le soir. Ces horaires sont souvent imposés par
L’augmentation des dépenses énergétiques consécutive à une journée de stage de deux séances, peut facilement atteindre plus de 3 500 à 4 000 Kcal par jour.
Les séances d’entraînement se pratiquent fréquemment en fin d’après midi ou en soirée dans certaines disciplines. Le repas du soir se trouve décalé vers un horaire très tardif, ce qui donne lieu à de nombreuses dérives, les sportifs ne sachant pas gérer cet horaire non conventionnel de repas.
Ce repas doit être léger, pour rester digeste et ne pas nuire à l’activité physique qui lui fait suite de façon rapprochée. Il correspond à un relais énergétique, mais doit prioritairement renforcer l’hydratation, pour compenser les pertes d’eau nocturnes lors du sommeil.
De nombreux sportifs profitent de la coupure du déjeuner pour s’entraîner, n’hésitant pas à sacrifier le repas du midi, par manque de temps, et par impossibilité de se restaurer correctement. Quelle solution…